Politique de la santé et pratiques institutionnelles
Les politiques de la santé sont des lignes directrices qui fournissent aux professionnels de la santé des conseils sur la façon dont ils peuvent traiter les patients correctement. Cette politique établit des normes de soins de santé et explique ce qui est considéré comme un comportement acceptable dans les établissements de santé. Les pratiques institutionnelles se rapportent au fonctionnement des organisations. Ils décrivent comment les tâches sont accomplies et comment les gens interagissent les uns avec les autres au sein de l'organisation.
Marginalisation des communautés queer
La marginalisation se réfère au processus de création d'un sentiment d'outsider ou d'exclusion de la société. Il s'agit de les traiter comme s'ils avaient moins de valeur que les autres en raison de leur identité, de leurs croyances ou de leur comportement. Les communautés queer comprennent ceux qui s'identifient comme lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres, queer, intersexes, non binaires ou toute combinaison de ces identités.
Stigma
Stigma est une attitude ou une conviction négative à l'égard d'un groupe de personnes. Elles entraînent souvent des préjugés et de la discrimination à l'égard des individus en raison de leur appartenance à ce groupe. Les groupes stigmatisés peuvent se voir refuser l'accès aux ressources, aux services et aux opportunités en raison de leur différence perçue. Cela peut créer des obstacles à l'emploi, au logement, à l'éducation, à la santé et à d'autres aspects de la vie.
Perpétuation de la stigmatisation et de la marginalisation par les politiques de santé et les pratiques institutionnelles
Les politiques de santé et les pratiques institutionnelles peuvent perpétuer la stigmatisation et la marginalisation des communautés queer de plusieurs façons. Premièrement, les politiques peuvent contenir des formulations qui renforcent les stéréotypes ou les hypothèses sur les corps queer ou le mode de vie.
Par exemple, certains politiciens peuvent supposer que tous les hommes sont hétérosexuels et cisgenres (identifiables au sexe prescrit à la naissance), ce qui exclut les patients queer. Deuxièmement, les politiques risquent de ne pas répondre aux besoins spécifiques des patients étranges, tels que le manque de soins fondés sur le sexe pour les personnes transgenres. Troisièmement, les institutions peuvent pratiquer des méthodes discriminatoires de recrutement ou de promotion, ce qui entraîne une absence de représentation dans la population active.
Enfin, les politiques et pratiques peuvent perpétuer la stigmatisation sans protéger la vie privée ou la confidentialité des patients, ce qui conduit à la divulgation d'informations confidentielles sans consentement.
Les effets de la stigmatisation et de la marginalisation sur les résultats en matière de santé
Les effets de la stigmatisation et de la marginalisation sur les résultats en matière de santé sont importants. Les personnes queer sont confrontées à des niveaux plus élevés de maladie mentale, de toxicomanie, de violence et de suicide que les personnes non queer. Ils peuvent éviter de demander des soins de santé par crainte de mauvais traitements ou de discrimination, ce qui se traduit par une détérioration des résultats en matière de santé générale.
En outre, les professionnels de la santé qui ont une attitude négative envers les personnes étranges peuvent fournir des soins de moindre qualité. Cela peut entraîner des retards dans le diagnostic et le traitement, une aggravation des symptômes et une diminution de la confiance entre les patients et les fournisseurs.
Solutions pour lutter contre la stigmatisation et la marginalisation
Pour lutter contre la stigmatisation et la marginalisation par le biais de politiques de santé et de pratiques institutionnelles, les organisations doivent introduire des pratiques inclusives et former le personnel aux questions LGBTQ +. Les politiques doivent être revues régulièrement pour s'assurer qu'elles sont pertinentes et inclusives. Les institutions doivent recruter et retenir divers employés, y compris ceux des communautés queer. Les organisations peuvent également accorder la priorité à la sécurité et à la dignité des patients en appliquant des mesures de protection contre la divulgation d'informations privées sans consentement.
Enfin, les programmes d'éducation médicale doivent inclure la formation sur les sujets de santé LGBTQ + dans leur curriculum.
Comment les politiques et les pratiques institutionnelles de la santé perpétuent-elles la stigmatisation et la marginalisation des communautés queer ?
Les politiques de santé sont souvent écrites avec des hypothèses hétéronormatives qui excluent les identités LGBTQIA + de l'expérience réglementaire en matière de soins de santé. Cela peut entraîner un diagnostic erroné, un retard de traitement et des mauvais traitements dans les établissements de santé. Les pratiques institutionnelles, telles que la divulgation obligatoire des formes sexospécifiques, peuvent contribuer à stigmatiser les patients transgenres en leur refusant l'accès à des services fondés sur leur sexe à la naissance.